Depuis sa création en 2016, Belugames c’est :

– 30 jeux et ateliers d’intelligence collective créés,

– plus de 1200 personnes formées pour les animer,

– et environ 65000 participant·es en France et à l’étranger.

En presque 10 ans, ce sont près de 500 organisations clientes qui ont fait appel à nous pour soutenir le travail en équipe, renforcer une meilleure compréhension de soi, de l’autre et contribuer à des bâtir des environnements professionnels toujours plus ouverts et sécurisants.

Et toutes ces demandes clients ont été autant d’opportunités pour nous interroger sur nos propres façons de faire.

Comment par nos activités contribuer au sein même de notre équipe à faire émerger un futur désirable du travail : où chacun·e peut être pleinement soi-même dans toute sa vulnérabilité, sans transiger sur l’excellence ni la qualité ? où on peut parler d’amour et se préparer au conflit ? où les rapports de domination sont dits avec responsabilité et sans complaisance ?

Parce que notre conviction profonde, c’est qu’on ne peut pas prétendre soutenir la capacité à mieux travailler ensemble et s’engager pleinement chez nos clients si ce n’est pas ce que nous expérimentons de notre côté. Notre rapport au travail est un terreau que nous jardinons avec grand soin pour le garder fertile.

Cet enjeu vous parle et vous voulez continuer à suivre notre actualité à ce sujet ? Alors nous conservons votre mail pour nos prochaines newsletters que vous recevrez à un rythme bimestriel. 

Et en attendant,  RDV en ligne le 28 novembre prochain de 13h à 14h pour nous demander ce que peuvent nous apporter la sociologie, les sciences du management et les approches narratives pour refaire collectif au travail et réduire la part des 90% de personnes salariées qui se disent désengagées et 44% qui déclarent souffrir de détresse psychologique.

Nous poursuivons le dialogue amorcé le 4 avril dernier avec Bastien François, chercheur en prospective et co-fondateur de De Vive(s) Voix pour confronter état de l’art et retours d’expérience terrain.

Si ces sujets ne vous concernent pas, n’hésitez pas à vous désinscrire en cliquant sur le lien « Me désabonner » en bas de page de la newsletter.